La technologie, c’est bien. Mais découvrir le monde tout en respectant l’environnement, c’est mieux !
Aujourd’hui, je vous présente le locatourisme. C’est une manière de voyager proche de chez soi, afin de favoriser le tourisme de proximité. Et concernant son périmètre, il est bien précis : pas plus de 169 kms depuis votre domicile.
Depuis quelques temps, le locatourisme est une véritable tendance, comme le locavorisme c’est-à-dire consommer des produits alimentaires locaux. Une belle manière de réduire son empreinte carbone !
La pandémie a en effet changé notre manière de vivre, de consommer, de voyager. Pourquoi aller trouver ailleurs ce que nous avons à proximité ?
Ce nouvel essor est une chance pour les destinations de promouvoir leurs territoires, trop souvent désertés pour les buildings des grandes villes. Les professionnels se doivent de renouveler leur offre afin de proposer aux visiteurs un moment inhabituel et surtout inoubliable.
Ainsi, 4 principes guident le locatourisme : se déplacer, se nourrir, s’héberger et quoi faire en vacances. Les adeptes de cette pratique favorisent des modes de déplacements plus doux, comme la marche.
Pour l’hébergement, les touristes peuvent pratiquer le flat crossing : échanger son logement avec des amis résidant dans la même ville. Parfait pour se dépayser un peu en découvrant d’autres quartiers sans dépenser de l’argent.
Mais alors, mer ou montagne ? Eh bien, tout dépend de votre localisation. Si vous résidez à Toulouse, vous êtes chanceux ! Vous pouvez d’abord vous rendre à Saint Pierre La Mer (oui oui, c’est à moins de 169 kms !) pour profiter d’une belle journée ensoleillée. Autrement, adonnez-vous à une randonnée sur le Canal du Midi qui relie Toulouse à Sète. Sur une journée, un week-end ou plus, je vous recommande cette petite balade.
Finalement, le locatourisme est une excellente manière de voyager sans nuire gravement à la planète. Une alternative qui séduit chaque année des millions de visiteurs.
Vive le locatourisme !
